Masters Of Horror Saison 2

Voici le 1er épisode de cette 2ème saison de l'excellente série Masters Of Horror intitulé PELTS et réalisé par le maitre Dario Argento qui nous avait donné l'excellent Jenifer de la saison 1.

Synopsis: Jake Feldman est un marchand de fourrures au tempérament fougueux qui tente tant bien que mal de faire fonctionner sa petite entreprise de fourrures tout en étant obsédé par sa danseuse nue favorite. Mais quand un trappeur qui est un fournisseur occasionnel de Feldman tue un groupe d'étranges bébés ratons-laveurs, Jake sait que leurs fourrures uniques pourrait lui servir a fabriquer un manteau qui pourrait le rendre immensément riche. Seulement ce ne sont pas des ratons-laveurs comme les autres: Toute personne qui entre en contact avec cette fourrure maudite est irrémédiablement amené a s'auto-mutiler et a commettre des actes d'une extrème violence. Que fera Jake maintenant??????

La 2ème saison commence extrèmement fort!!!!! Un épisode complètement hallucinant. Malgré une histoire rocambolesque, on embarque quand meme dans cet univers particulier grace au grand talent d'Argento qui y apporte sa vision unique et tout ce qui fait partie habituellement de son monde. Tant au niveau visuel, avec des couleurs vives et criardes(surtout le rouge comme dans son film Suspiria) et au niveau du score signé Claudio Simonetti qui collabore avec lui en solo depuis bon nombre d'années et aussi quand il faisait partie du groupe les Goblins. Le pouvoir mystique et maléfique de cette fourrure et son attrait auquel on ne peut résister est très bien rendue. A l'aide d'une combinaison visuelle et d'une petite toune instrumentale toute jolie, on percoit le pouvoir hypnotique et sexuel de bonheur ultime que cette fourrure a auprès des personnages qui la touchent. C'est un élément crucial du succès de cet épisode car si on est incapable que pour un seul petit instant de croire a ce pouvoir d'attraction, on va décrocher de l'histoire et se priver d'un plaisir immense. Je me dois de mentionner la performance pleine d'entrain et d'intensité de Meat Loaf dans le role principal de Jake Feldman. Il s'en donne a coeur joie dans la peau d'un personnage a la fois méprisant et plein d'amour pour cette danseuse qu'il veut tellement avoir pour lui tout seul.

Pour les amateurs de violence et de gore comme moi et bien je n'ai qu'une chose a dire: . On est servit a souhait: éviscération, mutilation faciale, tete défoncé a coup de baton de baseball et j'en passe. Je jubilais pendant le visionnement de cet épisode car ce sont des éléments que je retrouve habituellement dans les autres films d'Argento. Peut-etre pas autant mais c'est quand meme la. Il n'y a aussi, comme me l'a si bien fait remarquer Getter Mario hier soir, aucun temps mort pendant cet épisode. On ne s'emmerde jamais une seule seconde. On a toujours quelque chose d'intéressant qui se déroule devant nos yeux ébahis. Malgré toute cette violence et un impression de film grand-guignolesque, il y a quand meme un message assez évident de dénonciation du monde des manteaux de fourrures et de la mode qui s'en sert abondament.

Encore une fois une réussite totale et c'est reparti de plus belle pour une 2ème saison qui sera j'en suis persuadé meilleure que la 1ère. Le prochain qui devrait sortir sera celui de John Carpenter intitulé Pro-Life. Bien hate de le voir!!!!!

j'ai l'impression que cet episode va plaire williamhell , meatloaf joue dedans apparement

Ca fait du bien de voir ce bon vieux Meat Loaf!!!!!

Ce film est un des meilleur de la saga; du sexe, du gore, des nanas en string, de la décadence, de l'humour, et un maître en pleine forme, Dario Argento.

Un de ceux que je vais acheter assurément, cette histoire de raton laveur est ridicule (et c'est voulu), et tellement cool lol

Peut-etre que ton avatar aurait pu faire un caméo dans cet épisode

^^

Si il apparait dans cet état dans le film, ca ne sera plus un film d'horreur, mais plutôt un Rambo III

Le 2ème opus de cette saison 2 est Pro-Life de John Carpenter qui nous avait donné l'excellent Cigarette Burns dans la saison 1. Pro-Liferaconte l'histoire des employés d'une clinique d'avortement dont leurs journée va virer au cauchemar a cause de l'arrivée d'une jeune fille enceinte de 15 ans et de son père qui veut a tout prix empecher sa fille de subir cet avortement par tout les moyens nécessaires. Mais ce n'est pas un enfant normal que cette jeune fille attends, loin de la.....

C'est un très bon épisode que nous livre ici Big John avec cette charge a fond de train contre la folie des partisans anti-avortement contre les cliniques ou on pratique ces interventions. Mais en meme temps, on peut quand meme compatir un tout petit peu avec le père de la jeune fille interprété par l'excellent Ron Perlman qui adore sa jeune fille mais est malheureusement aveuglé par sa ferveur et ses croyances religieuses et entrainant par le fait meme ses 3 fils dans sa folie meurtrière. C'est le génie de cet épisode car ce n'est pas seulement un film de monstres mais une réflexion sur les valeurs des pro-choix et des pro-vies et leur impact sur la vie de tous et chacun. L'épisode est très bien monté et possède un bon rythme, dans ce sens il m'a beaucoup fait penser au film que Carpenter avait réalisé soit Assault On Precinct 13. C'est un duel a finir entre Perlman avec ses 3 fils contre le personnel de la clinique qui tentent de procéder a cet avortement coute que coute. Mais ce que Perlman ne sait pas, c'est qu'il devra affronter une menace plus grande que celle des employés de la clinique et c'est a partir de ce moment que l'épisode bascule totalement dans le film d'horreur et devient immensément intense. C'est un épisode extrèmement violent a lequel on assiste ici car la violence qui est dépeinte dans la 1ère moitié est fait de manière réaliste et crue. Ca n'a rien a voir avec de la violence envers un monstre ou une créature bizarre. Ca saisit si je peux dire. Je me dois de mentionner aussi le superbe score du fils de John Carpenter qui est a noter, il a vraiment hérité du talent de compositeur de score pour le cinéma.

Finalement, un autre épisode qu'on doit considérer comme une réussite. Ce n'est plus une surprise avec cette série qui enfile bon épisode par-dessus bon épisode. Très satisfaisant.

On en profitera un jour pour le regarder ensemble, j'ai regardé ce week-end pour ma part le Big trouble in little China (Les aventures de Jack Burton) de Big John et c'est toujours excellent, mes fils ont adoré. Le but était de leur faire connaitre ce film, un des seuls qu'ils peuvent voir de Carpenter à leur jeune âge.

Getter Mario a écrit:

On en profitera un jour pour le regarder ensemble, j'ai regardé ce week-end pour ma part le Big trouble in little China (Les aventures de Jack Burton) de Big John et c'est toujours excellent, mes fils ont adoré. Le but était de leur faire connaitre ce film, un des seuls qu'ils peuvent voir de Carpenter à leur jeune âge.

Pas de problème pour le visionner, c'est quand tu veux et pour Big Trouble, je suis bien content que tes fils ait adoré. C'est un film super cool et pour lequel j'ai une affection particulière. Pour ce qui est des autres films de Carpenter que j'ai, tu as bien raison de dire qu'ils devront etre plus vieux avant de les voir car ils sont assez rough pour des enfants de leurs ages.

3ème épisode de cette 2ème saison, Family est réalisé par John Landis qui nous avais donné Deer Women dans la saison précédente. Cet épisode raconte l'histoire de Harold Thompson qui vit avec une famille quasi-parfaite dans sa maison d'un quartier bucolique. Mais a l'arrivée d'un couple comme nouveau voisin,notre cher Harold commence a éprouver des sentiments amoureux pour la jeune femme du couple. Mais il y a définitivement quelque chose qui cloche avec Harold.....

Cet épisode est tout simplement exquis principalement a cause de son humour noir très poussé et efficace. George Wendt dans le role de Harold est parfait. Dès les premiers instants ou on l'apercoit, on le trouve sympathique et on s'attache a lui dès le départ. Mais assez vite, sans trop dévoiler de punch, on se rends compte qu'il n'a pas toute sa tete. Mais malgré ce fait, notre sympathie a son égard ne change pas d'un iota. L'histoire est tellement bien mené par Landis que meme si Harold fait des actes totalement répréhensible, on ne peut qu'etre de son coté. Ce qui contribue a ca , c'est qu'évidemment cet épisode est fait sous l'angle de l'humour noir. Si c'était un film d'horreur conventionnel sans la touche d'humour de John Landis on ne pourrait éprouver de l'empathie envers le personnage principal. C'est ce qui est la qualité principale de Family, ce contraste entre la vie de banlieue paisible et bucolique et les atrocités incroyablement hardcore qui se passe dans la maison de Harold. L'équilibre de l'épisode est toujours présent et ca se tient car ca aurait pu facilement tomber dans le ridicule total et faire de cet épisode une catastrophe.

Ce n'est pas un épisode particulièrement violent et gore mais on y trouve amplement d'éléments pour y trouver notre plaisir. En plus de cela, le score va absolument vous enchanter a cause de chansons super entrainante et totalement en contraste avec ce qui se déroule sous nos yeux. Finalement, Family est un épisode super original et plein de fraicheur avec des performances remarquables que je souligne encore une fois et je peux meme affirmer que c'est des 3 de la saison 2 que j'ai eu le plus de plaisir a regarder. Un pur délice!!!!!!

J'ai bien hâte de le voir celui là.

Tu devrais beaucoup l'aimer .

Réalisé par Rob Schmidt qui a réalisé entre autres le très bon Wrong Turn, Right To die est un autre excellent épisode de la saison 2. Voici le synopsis pour vous: Tard le soir sur une route de campagne, Cliff Adison et sa femme Abby sont impliqués dans un horrible accident de voiture qui laisse Curt sans une égratignure mais qui laisse sa femme horriblement brulé. Etant dans le coma mais maintenue en vie a l'hopital, son esprit décide de se venger de tout ceux qui lui ont fait du tort.

Right To Die est un épisode qui est parsemé de moments forts et meme quelque fois de moments qui inspirent le dégout. C'est une histoire qui peut sembler a première vue d'une histoire de fantomes classiques mais il y a une différence notable, la victime n'est pas morte. C'est lors de ses arrets cardiaques que son esprit s'échappe d'elle et va se venger de ceux qui lui ont fait du tort. Autant elle peut apparaitre dans sa forme normale et magnifique d'Abby, autant que d'autres fois on voit l'Abby horriblement brulée avec un look absolument grotesque. Lors de ces moments ou elle exerce sa vengeance, on assiste a des meurtres assez sauvages. Vous allez ressentir un malaise et un effroi certain a la vue de cette Abby horiiblement brulé et qui n'a plus de peau ramper par terre pour tuer une victime en la brulant vive comme elle. Le look que lui ont donné les magiciens de KNB est dégoutant a souhait. Mais en meme temps, ce qu'il y a aussi de super intéressant est le message qu'il y a sur le combat entre ceux qui veulent absolument garder les gens en vie coute que coute et ceux qui sont pour le droit de "débrancher" l'etre cher pour qu'il puisse mourir en paix. Utiliser le film d'horreur pour ajouter une touche encore plus horrifique a ce débat est une sapré bonne idée et est mené de belle facon par Rob Schmidt. Les acteurs y offrent une très bonne prestation en particulier Martin Donovan dans le role du mari Cliffqui est ultra sympathique mais qui n'est pas blanc comme neige non plus. Vous le verrez entre autres a un moment donné commettre un acte absolument répugnant qui va vous saisir.

Au niveau du gore, on est encore une fois bien servi. Si vous n'aimez pas voir des gens se faire écorcher toute la peau, vous allez avoir beaucoup de difficulté a visionner cet épisode. Encore une fois, un épisode très satisfaisant qui donne le gout de voir les autres.

Episode réalisé par Joe Dante qui nous avait donné HOMECOMING dans la saison 1, The Screwfly Solution nous raconte l'histoire d'un virus qui transforme le désir sexuel des hommes envers les femmes en rage meurtrière ce qui résulte en une vague d'homicides mondial et met la population féminine et la survie de l'humanité en danger.

Cet épisode est tout simplement savoureux!!!, c'est sans contredit le point fort de cette 2ème saison de Masters Of Horror. C'est un épisode qui est quelque fois difficile a supporter car la violence envers les femmes est extrèmement graphique et d'une violence barbariquement intense en particulier lors d'une scène se passant dans un bar de strip-teaseuse ou un homme tue a coup de tesson de bouteilles dans le cou une pauvre danseuse sans qu'aucun homme n'intervienne pour stopper ce meurtre. Ce n'est pas quelque chose de très agréable a voir car contrairement a de nombreux films d'horreur ces meurtres ne nous sont pas présentés dans un contexte ou on peut en retirer du plaisir. le fait aussi que cette histoire nous soit présenté dans un contexte de" fin du monde" ajoute aussi a notre niveau de stress. Mais aussi je vais vous dire sans révéler de punch toutefois que ceux qui sont a l'origine de ce virus répandu sur la population ne sont peut-etre pas ceux que vous pensez. Tout est bien fait dans cet épisode, les personnages sont bien développés, l'histoire est prenante et le gore y est présent en plus de nudité de l'actrice principale qui je dois le mentionner a un superbe cul!!!! excusez mon language... Cette saison 2 est absolument splendide et j'espère de tout mon coeur que les autres épisodes continueront d'etre d'aussi bonne qualité et qu'il y aura une saison 3. Espérons-le!!!

Episode réalisé par Stuart Gordon, The Black Cat nous raconte l'histoire de l'écrivain Edgar Allan Poe qui éprouve dans sa vie de la difficulté a pondre une bonne histoire pour son éditeur et qui a la maison est entrain de devenir fou a cause de son obsession pour le chat noir qui reste avec lui et sa jeune femme et qu'il croit etre la source de tout ses problèmes.

Un épisode assez surprenant car contrairement a ceux déja présentés dans cette 2ème saison, celui-ci a une approche beaucoup plus gothique et atmosphérique que d'horreur pur. On est vraiment dans l'univers de Poe. On a véritablement l'impression d'etre témoin de ce qui se passe dans la tete d'un écrivain qui écrit des histoires absoluments démentes et d'une grande tension psychologique. Ceci est rendu possible grace a la performance absolument hallucinante de Jeffrey Combs qui m'a totalement subjugué dans le role de Poe. Je savais qu'il était un bon acteur mais dans The Black Cat, il est la perfection meme. Je me dois de parler du climat instauré par Stuart Gordon qui vient nous envahir au fur et a mesure que l'épisode avance. Je n'étais pas sur au début si j'étais vraiment dedans l'épisode mais au fil du temps, je me suis totalement retrouvé plongé dans cet univers de démence et de tourments. C'est un épisode ou on a l'impression d'etre un voyeur et de pouvoir etre témoin du processus créatif d'un auteur célèbre mais avec un petit twist horrifique gracieuseté du 7ème art. Si vous connaissez l'oeuvre de Poe, vous aimerez le traitement qu'en a fait Stuart Gordon en mettant comme personnage principal de cette histoire connue Poe lui-meme comme si The Black Cat le mettait en vedette. C'est un épisode que j'ai beaucoup aimé garce aux superbes performances d'acteurs, des bonnes passes de gore et surtout du climat qui est gothique et stressant a souhait, je vous le conseille fortement!!!!

merci Jigsaw, boulot carré comme d'habitude (maintenant je regarde la série que j'avais bétement délaissé, merci!)

Valerie On The Stairs est réalisé par Mick Garris et est une adaptation d'une nouvelle de Clive Barker et raconte l'histoire d'un auteur qui n'a jamais été publié qui emménage dans une maison de chambres ou habite des auteurs ratés qui n'ont jamais eu un de leurs livres publiés. Il y est té,oin de l'apparition du fantome d'une superbe femme Valerie et de la créature a qui elle appartient qui est avide de chair fraiche et veut tuer les auteurs qui lui ont donné vie.

Un épisode somme toute assez solide avec une histoire poignante et une ambiance extrèmement bien installé et stressante au possible. On ressent très fortement la présence de l'univers de Clive Barker soit le monde de l'amour, la douleur et la violence qui sont liés l'un a l'autre. On est plus dans un univers fantastique que horreur meme si on se rapproche un peu de l'univers de Lovecraft ou de Poe. Je pourrais établir un parrallèle avec le film La Part Des Ténèbres de Stephen King a savoir l'apparition dans le monde réel d'un personnage de fiction. Ici par contre c'est dans le contexte d'une histoire d'amour ou le perso de l'auteur qui emménage tombe amoureux du perso de Valérie et tente de la libérer de l'emprise du monstre. Meme si a la base c'est une histoire d'amour, l'aspect horreur est quand meme assez présent. La performance des acteurs est de qualité surtout Clare Grant dans le role de Valerie qui a un role somme toute difficile car elle doit etre vulnérable et forte émotivement en étant la plupart du temps nue. L'autre performance que j'ai beaucoup aimé est celle du légendaire Tony Todd dans le role du monstre. Evidemment il y a quelques bonnes passes de gore ce qui est toujours apprécié et on y passe finalement un bon moment. Ce n'est pas le meilleur de la série mais un épisode qui mérite d'etre vue.

Episode réalisé par Tom Holland (Jeu d'enfant, Fright Night), We All Scream For Ice Cream nous raconte l'histoire d'un groupe de jeunes enfant qui il y a longtemps ont joué un mauvais tour au vendeur de crème glacée qui a eu comme résultat la mort de ce dermier. Mais il revient maintenant se venger d'eux maintenant qu'ils sont adultes et ont des familles.

Un épisode extrèmement fort et bien joué avec un climat extraordinairement bien installé. Le personnage principal du clown simple d'esprit Buster est interprété de facon juste et émouvante par le cultissime William Forsythe qu'on a pu voir entre autres dans Devil's Rejects. On se prends d'affection immédiatement pour lui dans les scènes de flashback ou on le voit faire rire les enfants avant de leur vendre leur crème glacée. Cet homme n'avais aucune malice et se plaisait a faire ce travail. Malgré tout ca, quelques enfants lui ont joué un très mauvais tour et a cause de ca, on comprends son désir de se venger. Ca peut sembler bizarre pour certains mais on en vient presque a souhaiter que Buster parvienne a ses fins et élimine ses enfants devenus adultes!! Mais ce qui ne nous fait pas totalement pencher en faveur de Buster le clown est le personnage principal de la bande de jeunes devenus adultes qui a cause de son charisme et du fait qu'on se soit apercu qu'il est le seul a avoir eu des regrets pour le drame qui s'est passé il y a longtemps, on ne souhaite pas sa mort. On veut qu'il vienne a bout de ce Buster. Cet aspect de l'épisode est le plus réussi a mon avis. En plus du développement psychologique qui est superbe, les effets spéciaux sont d'une qualité surprenante et meme quelque fois répugnants. Car voyez-vous quand les gens meurent après que leurs enfants ait mangé une crème glacée offert par Buster, ils fondent littéralement!!! ce qui donne un effet assez dégueu a l'écran. Quand on prends tout ca en compte cet épisode de Masters Of Horror est une belle réussite et me donne encore plus envie de voir ceux qui restent!!!

merci pour la rewiew Jigy, ça fait envie!

Merci Jeeg, le cover avec le clown est superbe!!

Getterteam a écrit:

merci pour la rewiew Jigy, ça fait envie!

Ca m'a fait plaisir mec!! et cette série est un superbe cadeau pour moi!!!

Getter Mario a écrit:

Merci Jeeg, le cover avec le clown est superbe!!

Le film l'est aussi

je vais demander la saison 2 en vostfr, je peux plus attendre!!!!!!

Très bonne idée